7 novembre 2013
4
07
/11
/novembre
/2013
17:01
Sur le sol, oubliés des jardiniers et des machines à ratisser, les tiges des feuilles de marronniers, comme un mikado géant roulent sous les pieds, balayées ou enterrées pour quand les bourgeons reviendront.
Le chauffage s’allume, le corps se recroqueville, la tête se baisse dans la capuche et les épaules se rentrent sur des déambulations plus courtes. Les rues se vident plus vite et les flâneurs sont moins nombreux.
Restent ceux qui
Espérant
profitent du spectacle !