Dans le musée de Provins, un bric à brac digne des foirfouilles les plus notables. Dans la maison renaissance, calices, tabliers de vénérables, statues de bois mangées aux vers, arquebuses, tabatières et trébuchets. Et sur le mur un bourreau du cru de la lignée des Sanson pose. La toile est gardée par un homme sans sourire. Il faut dire que le radiateur en fonte entre sa chaise et le tableau glougloute à grand renfort de sifflements. Comme quoi, bourreau ça se transmet de père en fils et même après !